Intéressant. As-tu gardé trace de quel FF est tiré cette présentation ?

Oui bien sûr numéro 1000 du 11 mai 1965

J ai toujours trouvé très intéressant l'édito des numéros 1 , on trace un chemin...

Dommage que FF ait été tué , c'est vrai que c'est dur pour la presse , l'avènement d'internet lui a fait beaucoup de mal ...

Et FF n' a peut-être pas su évoluer , adieu les résultats des petites divisions , des présentations des clubs amateurs...

Au fond est-ce que FF n'aurait pas du se rapprocher du foot amateur , parler plus du football féminin qui est en essor ...

A une période FF en format presse et en papier journal c'était une drogue, le mardi l'achat un rituel. Les changements de formule, les technocrates diront dépoussiérages, ont vidé les pages de ce qui m'intéressait, des photos couleurs mais moins de texte, focus sur quelques clubs par ailleurs surexposés, j'ai décroché il y a longtemps.
Les rares fois où je l'ai parcouru depuis, hormis le titre rien ne rappelle le vrai FF, enfin celui d'avant.

C'est vrai qu'à une époque, FF était pour moi un drogue dure. Chaque mardi, je me précipitais sur les pages "Confidentiel" compilant les brèves sur chaque club. Avant l'arrivée d'internet, c'était l'unique source dont disposaient ceux qui, comme moi, n'habitaient pas dans la région de leur club de coeur et n'avaient donc pas accès à la presse régionale.
Contrairement à toi, je n'ai jamais réussi à couper le cordon et je suis resté fidèle à FF jusqu'à aujourd'hui, même si ce magazine n'a plus qu'un très lointain rapport avec ce qu'il a été. Cela étant, on peut dresser le même constat pour tous les titres de la presse écrite, laquelle est dans une situation franchement inquiétante.

Très longtemps abonné "milieu des années 80 jusqu'au milieu des années 2000" ça en faisait des numéros et dire que j'ai fini par les jeter à la déchèterie de mon village. ça me donne envie de chialer...

France Football l'achat indispensable du Mardi, et puis, comment avoir les résultats autrement à l'époque.
Pour ma part, j'ai du les laisser dans une cave suite à un déménagement. Quel gachis et que de regrets.